Pourquoi ? Pour prendre le recul nécessaire à l’identification des ressources simplement et/ou gratuitement accessibles qui peuvent faciliter la réalisation de la tâche.


 

Comment cela se traduit-il à l’ère numérique ?

L’individu est de plus en plus maître de son temps et il dispose de la capacité d’accéder à l’information qu’il souhaite à peu près quand il le veut et d’où il le veut (le fameux ATAWADAC : AnyTime AnyWhere AnyDevice AnyContent). Qu’il s’agisse des moteurs de recherche ultrapuissants, des réseaux sociaux globaux, des encyclopédies collaboratives ou des cours gratuits en ligne, il peut tout trouver. Encore faut-il être en mesure de bien préciser ce que l’on cherche pour éviter la surinformation généraliste.

 

En quoi est-ce utile pour mon employabilité ?

C’est un peu la conclusion logique à la réflexion sur l’employabilité que d’insister sur le fait qu’aujourd’hui à peu près tout ce que je veux apprendre est disponible, soit parce que j’ai accès à des contenus qui me l’expliquent, soit parce que j’ai accès à des personnes ayant les bonnes compétences. Néanmoins bénéficier de services « à la demande » nécessite une contrepartie ; il est important de donner au même titre que l’on reçoit, ce qui implique de mettre clairement en avant de manière transparente ce que l’on peut apporter et ce que l’on cherche à obtenir.

Dans les organisations, l’autogestion et l’intrapreneuriat deviennent de plus en plus valorisés, ce qui permet aussi de rééquilibrer les apports de l’individu à l’organisation et réciproquement, dans un contexte où les organisations manquent de réflexivité sur la transformation qu’elles subissent (pour une large majorité).

–> Penser davantage « A la demande » mes activités quotidiennes me permet de monter en compétences sur la Résolution de problèmes complexes, la Coordination avec autrui et le Jugement et la prise de décision.

 

Quelques idées pour agir concrètement dès à présent !

  1. La recherche élaborée: trouver une information qualifiée dans un système d’abondance nécessite de bien formaliser ce que l’on souhaite pour effectuer des recherche plus élaborées qu’avec de simples mots valises ou buzzwords génériques.
  2. Des Books aux MOOCs: quel que soit l’acronyme choisi (MOOC, SPOC, COOC ou autre), il est important de chercher quels leviers existent pour monter en compétences sur ce qui nous est important et utile aujourd’hui et demain (vidéos Youtube ou TED, cours en ligne, formations à distance, lectures ou événements) – voir la liste des sujets existants sur MOOC FrancophoneAnnuaire MOOC ou encore MyMOOC).

</> Pour revenir à la vision d’ensemble des 12 principes de la Culture Numérique, c’est ici.

</> Pour voir l’intégralité des pistes d’action, c’est ici.

Penser « A la demande » (as a Service)
Étiqueté avec :

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *