Pourquoi ? Pour faciliter la réalisation de ce que je fais en découpant ma tâche en sous-tâches et ainsi identifier comment les traiter efficacement de manière unitaire.


 

Comment cela se traduit-il à l’ère numérique ?

Les principaux langages de programmation informatique (HTML, CSS, JS, PHP, etc) régissent une très grande partie de notre quotidien actuel autour du Web et du mobile, et leur importance va encore croître avec les nouvelles tendances des objets connectés et de l’intelligence artificielle.

 

En quoi est-ce utile pour mon employabilité ?

Le développement informatique et l’apprentissage du code passent par une forme de logique qui ramène l’individu à ses mécanismes cognitifs. Dans un monde de plus en plus incertain, cette ère où « tout est programmable », la prise de décision doit être rationnelle, avec une vision à long terme et ainsi être régie par des protocoles, des langages, des balises, des conventions, des codes partagés avec ses pairs.

Au même titre que ne pas parler anglais aujourd’hui représente une difficulté pour comprendre et interagir dans le monde, ne pas connaître les fondamentaux de la programmation ne permet pas de comprendre les évolutions actuelles. Sans pour autant devenir développeur il est important de comprendre à la fois la logique derrière les programmes informatiques ainsi que les principaux langages.

–> Penser davantage « Programmatique » mes activités quotidiennes me permet de monter en compétences sur la Pensée critique, la Coordination avec autrui, la Négociation et la Pensée computationnelle.

 

Quelques idées pour agir concrètement dès à présent !

  1. Le découpage en sous-activités: découpez vos principales activités en sous-activités afin de mieux identifier ce que fonctionne ou pas et d’avoir un plan d’action précis en face : chaque sous-activité dois être exclusive et doit se terminer par quelque chose concret ; à la manière du Lean management, il vous sera plus facile de travailler sur des micro-tâches, que l’on peut qualifier et résoudre rapidement, que sur un processus de réalisation plus ou moins complexe ;
  2. iRobot : pour chaque tâche ou sous-tâche, déterminez le degré potentiel d’automatisation (voir l’article dédié basé sur un test du Financial Times) ;
  3. Le temps fini : quelle que soit votre tâche à accomplir, il est capital de lui affecter un début et une fin et de tenter de les respecter (et au final d’en tirer les enseignements pour la prochaine fois) ;
  4. Les codes relatifs contextuels : un même sujet ne sera pas vu et compris de la même manière selon que l’on s’adresse à telle ou telle personne ou population, d’où l’importance de contextualiser ce que l’on fait au regard des codes culturels adéquats (de langage, de format, de méthodologie…).

 

</> Pour revenir à la vision d’ensemble des 12 principes de la Culture Numérique, c’est ici.

</> Pour voir l’intégralité des pistes d’action, c’est ici.

Penser « Programmatique »
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